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 Prompt : Coitus Uninterruptus

Ce n'était pas vraiment une surprise. Thot s'en doutait un peu et il savait qu'il n'était pas le seul à penser ainsi après une conversation avec Râ. Le dieu n'était pas aveugle, et même s'il aurait préféré obtenir confirmation sans en avoir à être témoins d'une telle scène, avoir raison était toujours satisfaisant.

Il se permettait néanmoins de juger les deux autres dieux. De tout les endroits, le couloir n'était pas le meilleur choix. Il y avait des chambres ou des salons pour ce genre de chose. Thot ne voulait pas découvrir ce genre de chose en marchant dans l'un des couloirs du palais.

Les deux hommes n'avaient même pas la politesse de se couvrir en étant prit sur le fait, restant immobile jusqu’au que le dieu de la connaissance ne tousse pour initier un mouvement.

Horus s'éloigna enfin de son aîné, remettant à la va-vite sa tunique. Le dieu des sables l'imita rapidement, les deux hommes tentant de se retrouver leur dignité mais Thot leur offrit un regard plat. C'était bien trop tard pour enlever cette vision de ses yeux.

L'image restait sans doute un long moment dans son esprit. Râ s'était trompé de plus.
Qui aurait cru que le doux Horus serait celui qui coincerait son oncle contre un mur, soulevant sa tunique et prenant les choses en mains ? Thot ne l'aurait pas cru si le dieu n'avait pas coupé leur ardeur.

 

❄️ Prompt Sickfic : Un personnage a un rhume, un autre prend soin de lui ! Ou, si vous êtes plus en mode dark, un personnage a de la fièvre et des hallucinations. Ou les deux.

Rien ne semblait calmer la fièvre. Hermès soupirait, n’arrivant pas à chasser complètement la culpabilité qui l’habité. Artémis lui avait conseillé de prendre du recul, mais elle n’était pas celle qui avait découvert le dieu enfermé, battu et affamé depuis plus de treize mois.


Il ne comprenait pas comment Zeus avait pu permettre ça. Cela avait laissé la déesse lunaire amère et méfiante, conseillant à son frère et ses sœurs de s’éloigner un peu de l’Olympe. 


Hermès partageait la même idée. Zeus venait de vendre son fils, un dieu, pour assurer la protection d’Héra et d’Aphrodite. Leur parent n’aurait pas de honte à montrer du favoritisme mais maintenant il comprenait que leur vie pouvait devenir un tout moment une monnaie d’échange. 


Il n’en voulait pas à Poséidon, même si une nouvelle fois ses enfants semé le trouble. Mais Zeus avait permit cela, il avait offert au Aloades Arès en échange de promettre de s’éloignée de sa femme et de sa fille. Et ceux pendant un an, sans en parler à quiconque les trois avaient gardé le silence sur l’échange qui avait privé l’Olympe d’un dieu et bouleversé l’ordre des choses. Et plus que tout cela avait été à Hermès d’aller sauver le dieu de la guerre et des larmes, qui portait maintenant son nouveau attribut avec une détresse frappante. Les deux géants s’étaient bien trop amusait avec le dieu de la guerre, savourant sa captivité comme un monstre savourait de voir sa victime prisonnière perdre peu à peu espoir. 


Enfermé dans leur grotte, le dieu ne pouvait presque rien faire, sa combativité disparaissant au fil des mois. Les deux géants en avaient profité, loin de toute réprimande et avec l’accord du roi des dieux. Hermès et Artémis avaient enfin après un an de recherche trouver leur antre. La déesse avaient montré au deux géant comment elle pouvait égalé sans mal Athéna ou Arès, et le dieu messager avait trouvé le nouveau dieu des larmes et de l’injustice sur le sol, dans un état qui laissait claire se que les deux frère lui avait fait. Un maigre linge couvrait à peine l’homme, le blanc devenu sale par le sang et la terre après des luttes vaines.Même en temps que dieu guériseur Hermès n’avait pas vu des dégats aussi grave, du moins pas depuis que la paix avait été installer entre les différents dieux et entité primordiale.


Parfois les pires blessures ne venaient pas toujours de la guerre.

L’état de l’autre dieu était alarmant, et Hermès avait presque peur que cela puisse être fatal. C’était une pensée qu’il devait chasser son esprit, mais au chevet de l’autre l’homme l’idée ne semblait pas quitter un instant son esprit.


La fière dévorait le dieu, laissant le dieu médecin observait comment la sueur salissait les bandages qu’il venait de refaire. Ce n’était pas plaisant de voir un aspect chétif à un dieu guerrier. Les muscles avaient diminué avec le manque de nourriture et les abus. Et les plaies n'étaient pas encore cicatriser pour la plupart. Cela n’aidait pas la fièvre. Il n’y avait rien pour lutter contre l’infection qui le laissait si faible. Comme si la maladie pouvait sentir sa fragilité.


Le pire étant sans doute les cauchemars et les hallucinations que provoquait la fièvre. Le dieu s’agitait en vain, se réveillant seulement au son de ses propres cries. Ses baumes médicinaux et l’eau froide ne semblaient pas aider. Hermès savait qu’il devait juste attendre, l’infection qui avait provoqué cette folie était maintenant soignée. La fièvre n’allait pas tarder à se calmer. Elle devrait se calmer.


Mais les choses n’étaient pas si simples. N’importe qui aurait été troublait de trouver Arès ainsi, malmener durant plus d’une année. Treize mois d’abus que la plupart des dieux ne pouvaient imaginer. Mais cette fièvre semblait gâcher et ses derniers efforts de le faire aller mieux, de faire comme si cette année de recherche n'avait jamais existé. Peut-être qu’un siècle ne serait pas assez pour oublier se qui s'était passé.


Arès tremblait, cria à l’aide et implorant qu’on s’éloigne de lui. La fièvre était l’unique chose qui l'empêche de se replier le plus loin possible des autres, craignant quelque chose qui laisser les rares dieux soucieux de lui horrifié. Peut-être même aussi les autres. Aphrodite avait voulu le revoir, curieuse de son état et Hermès n'avait même pas pu être satisfait de voir la déesse marine comparée à l’un de ses géants. L’horreur se gravant sur son beau visage comme une punition presque juste. Arès avait simplement crié et s’était replié sur lui-même, suppliant Otos de ne pas le toucher de nouveau, peu importe si la personne en face de lui avait le courbe les plus élégante et féminine, la fièvre lui faisait voir seulement un gens aux longs cheveux blonds et à la force semblable à celle des océans. 


Il avait l’impression à chaque réveille d’être de retour dans la grotte, enchaîné au mur comme un animal ou enfermé dans cette jarre immense qui le privé de ses dernières libertés. 


Hermès souffla, prenant place à côté de la couche du dieu qui luttait dans un sommeil à peine reposant malgré les soins de Morphée. Soigneusement le dieu message épongait son front, attendant et espérant une amélioration de son état. 


Les Aloades voulaient faire tremblaient l’Olympe ? Et bien pour Hermès ils avaient presque réussi. Non pas qu’Otos et Ephialtès soient particulièrement forts. Mais leurs actes avaient montré comment même les dieux les plus importants n’étaient pas l’abri, et que peut-être aucunes divinités ne pouvaient se fier au autre. La fièvre d’Arès n’était peut-être que le début d’un incendie qui pourrait être leur fin. 


Hermès espérait qu’il était simplement défaitiste, nettoyant le front  de l’autre homme avec douceur. Il ne pouvait pas être confiant en imaginant un instant ce qui aurait pu se passer en n'arrivant que quelque mois plus tard. 


 

❄️ Prompt La beauté de la neige : La symétrie d'ordre 6 des flocons ! Les reflets verts dans les icebergs ! Le givre qui rend n'importe quoi magnifique ! Les petites stalactites de glace partout ! Admirons pour un instant !

Sedna parfois se sentait enfermée pas l’océan. C’était une prison, un lieu de vie comme les chaînes qui la liée dans la froideur de l’eau. Elle n’avait plus de jambe pour marcher, seulement un queue de poisson. Elle n’avait plus de doigts pour se coiffer ou travailler à l’air libre, seulement des nageoires, des mains palmées pour nager et se mouvoir avec élégance dans l’eau. 


Nageant avec ses enfants, ses créatures naît de sa chair et de l’eau.


Parfois elle enviait les oiseaux marins qui se posaient au-dessus d’elle. Les rayons du soleil et le vent lui manquer.


Néanmoins la glace et l’eau pouvait lui offrir autre chose, consolant un peu de sa peine alors que le soleil si lointain laissait ses rayons se perdre au-dessus d’elle, les milliers de cristaux constituant la glace faisait danser les rayons et illuminer la glace et la forme étrange des icebergs. 


En nageant elle pouvait même trouver des jadebergs, ses étranges morceaux de glace vert et qui briller comme une pierre précieuse. Cela ne remplacera jamais ce qu’elle avait perdu, mais la beauté de la glace était au moins une nouveauté agréable.


 

❄️ Prompt : Tous ces tropes hivernaux d'UST (qui peut très bien se résoudre et se transformer pleinement en smut. Ou en utilisation de magie de feu, ou les deux)

Prométhée observait les humains, la nuit tombant sur eux. Rapidement il n’avait plus aucune lumière, mais le titan pouvait voir ses créations tremblaient dans le froid de la nuit. Nix n’était pas douce avec les mortels, la nuit glaciale. Le temps n’était pas doux pour eux généralement.


L’été était trop chaud et étouffant mais ils avaient réussi à construire des maisons pour s’abriter, et utiliser l’eau pour s’hydrater. Mais au fil des mois le temps était devenu glacial, et les nuits devenaient une épreuve. Beaucoup perdaient la vie dans la froideur de l’hiver. Et rien ne semblait les réchauffer ou éclairer la pénombre. 


Comment Zeus pouvait lui ordonner de laisser ses créations mourir sous ses yeux ? Il savait ce qu’ils leur manquaient, il pouvait leur offrir de quoi cuire la viande et tuer les maladies, de quoi éclairer leur foyer mais surtout réchauffer leur peau et leur foyer, offrant à ses enfants une chance de survivre.


Sa décision était prise, il n’avait pas besoin d’hésiter. Il connaissait aussi les connaissances d’un tel acte.

Mais en tendant aux Hommes une torche enflammée et le secret du feu, chassant le froid et la neige de la terre des hommes, le sourire et les remerciements de ses créations était tout ce qu’il avait besoin. 


 

❄️Prompt Alcool joyeux : ivresse (volontaire ou non) qui peut pousser à des confidences, des aveux involontaires ou des frasques que l’on oublie le lendemain et que d’autres s’amusent à rappeler.

Il avait mal à la tête, grimaçant en ouvrant les yeux. Seth savait que quelque chose n’allait pas à cet instant même. Il n’était jamais bon de se réveiller avec un puissant mal de tête, signe qu’il avait bu bien trop de bière et de vin pour garder un semblant de contrôle et parfois de dignité. Bien que le vin qui se rappelait avoir bu était comme toujours enivrant et sublime.

 

Le rendant d’autant plus dangereux.

 

Le dieu ouvrit les yeux, rassuré d’au moins découvrir sa couche et les ornements de son lit. Oh, cela n’était pas totalement rassurant alors qu’il voyait l’état de son domaine mais au moins il était chez lui. C’était mieux que rien, une bataille de gagnée contre la guerre intérieure que provoquer l’alcool. L’ivresse était le pire des ennemies, que ce soit par les aveux ou les confidences de l’alcool aidé à délivrer ou l’humiliation que les boissons lui réservait. Seth tenta de bouger pour examiner les dégâts mais un bras le tenait sur place, et le dieu du désert sentit son cœur s'agiter.

 

Qui allait-il découvrir, de quelle honte allait-il se couvrir ? Et il avait encore si mal à la tête, lui donnant envie de gémir et de se rendormir. Pourtant il devait savoir qui s’était invité dans son lit. Difficilement il arrivait à se retourner, notant que le bras semblait masculin. C’était presque rassurant. D’une certaine manière.

 

Il sentit son souffle se couper en Horus contre lui, dormant encore. Ils avaient autant bu pour arriver à cette situation ? Sans doute beaucoup. Si son mal de tête et la gêne entre ses jambes étaient une bonne indication des événements de la soirée. Qu’est qui avait été fait sous les essences du vin ?

 

Si jamais il se levait de son lit, l’affrontement des autres dieux serait une épreuve que Seth n’était pas prêt à endurer. Boire assez pour coucher avec son rival et l’oublier au matin, Seth savait que jamais les autres dieux n'oublieraient jamais cette nuit.

 

Seth devrait se lever au plus vite et laisser le sable communiquer sa colère. Il allait promettre les pires tempêtes pour cacher sa honte et les possibles conséquences de cette nuit. La main d’Horus s'accrocha à son épaule, laissant le dieu hésiter. Le mal était déjà fait, il pourrait toujours fuir un peu plus tard, ou assumer ses conséquences.

 

Sa tête lui faisait vraiment mal, laissant le dieu soupirer d’agacement avant de laisser ses yeux se fermer, se demandant si en se réveillant l’autre dieu serait toujours ou si lui aurait eu honte de leur ivresse.