allenkune

❄️ Prompt Cocooning : On s'installe sur le canapé devant la cheminée et on passe un bon moment avec la personne qu'on aime, des amis ou la famille, ou bien on se protège du froid dehors et qui nous oblige à rester enfermés chez soi et à devoir se réchauffer de manière innocente... ou beaucoup moins !

Un craquement résonna, rapidement suivi par le bruit d’un oiseau agitant ses ailes en secouant les branches autour de lui. C’était un bruit léger mais c’était suffisant pour réveiller Liam, celui-ci ouvrant les yeux pour scruter un instant la forêt qui les entouraient. Certains réflexes ont la vie dure. Aucun arbre n'avait de feuilles, et tout semblait presque mort. L'hiver pouvait être dur sur les routes. Même les animaux semblaient fuire se froid.

Liam avait la chance au moins de ne pas frissonner de froid. Cela le faisait sourire. Kavo semblait encore dormir, sa respiration douce dans son cou alors que sa poitrine dans son dos bougeait dans un rythme régulier. Le démon le tenait solidement dans ses bras, sa fourrure offrant une chaleur presque enivrante alors que tout semblait si froid autour d’eux.

Il aurait aimé que l’ambiance soit plus chaude encore mais malheureusement Kavo ne semblait toujours pas à l’aise avec cette idée. Même alors que Liam lui avait promis qu’ils auraient bien chaud ainsi. C’était dommage mais ce n’était pas vraiment une surprise de voir Kavo refusait et se contentait de le tenir contre lui, offrant chaleur et une protection contre n’importe quel prédateur.

Les bras forts qui le tenaient étaient une impression étrange sans avoir pu coucher avec leur propriétaire. Liam ne devrait sans doute pas plus se questionner et se rendormir, sachant qu’ils avaient encore de la route avant d’arriver au prochain village qui pourrait leur permettre de passer l’hiver en sécurité et dans la chaleur d’une auberge. 

Comme pour lui répondre, Kavo resserra son emprise sur lui, semblant décider pour l’homme la marche à suivre.

❄️Prompt Tenue chaude et confortable mais moche : si toi aussi tu ressembles à un bonhomme bibendum en hiver tape dans tes mains.

L'air devenait de plus en plus froid, laissé un certain mordant se glisser dans les maisons et glacer les pièces sans foyer. L'hiver était une saison qui semblait tout ralentir, transformant la routine en une lutte contre le froid et la peur de ne plus avoir assez de pièce pour payer la chambre de l'auberge et leur repas. 

Kavo se sentait un peu mal à l'aise, piégé dans une ville humaine pour encore plusieurs semaines en vue du froid et de la neige qui tombaient parfois sur les pierres des maisons voisines. Malgré sa nervosité, cela restait plus sûr de rester en ville que de s'aventurer sur la route. Il n'était pas sûr qu'un humain puisse supporter d'aussi basse température nocturne même avec des habitudes chaudes. Surtout quand Liam semblait détester ses dites protections.

Le vieil homme sortait moins avec l'arrivée du froid, semblant enduré le pire ennui d'être privé de quitter l'auberge de peur de devoir se couvrir. Kavo ne voit aucun problème avec ses manteaux lourds et ses écharpes, assurant une bonne protection contre la neige et le vent. 

Pour Liam cela était une horrible torture. "Je n'attirais personne parait ainsi." Se lamentait l'homme en remuant mélancolique la soupe que lui avait servit une charmante jeune femme qui malheureusement était encore en service. 

Kavo se sentait soulagé, remuant dans l'ombre pour attraper ce que lui tendait l'homme qui continuait de se lamenter. Kavo ne fourni pas que ses habitudes le rendait bouliné et lourd. Bien sûr, ses habitudes étaient moins plaisantes, moins attractives mais leur mais était d'offrir une fourrure supplémentaire aux humains, et Kavo était rassuré que cela gardait effectivement Liam au chaud. 

Kavo aimait comment l’odeur de Liam s'accrochait à ses habits, et la douceur du tissu. Et le démon se demanda si c’était égoïste de demander un long hiver. Cela lui offrait une occasion en or de garder Liam pour lui. En sécurité malgré que l’homme dramatisait sa situation. Kavu était heureux, malgré qu’ils devaient rester en ville.