❄️ Prompt Sickfic : Un personnage a un rhume, un autre prend soin de lui ! Ou, si vous êtes plus en mode dark, un personnage a de la fièvre et des hallucinations. Ou les deux.
Rien ne semblait calmer la fièvre. Hermès soupirait, n’arrivant pas à chasser complètement la culpabilité qui l’habité. Artémis lui avait conseillé de prendre du recul, mais elle n’était pas celle qui avait découvert le dieu enfermé, battu et affamé depuis plus de treize mois.
Il ne comprenait pas comment Zeus avait pu permettre ça. Cela avait laissé la déesse lunaire amère et méfiante, conseillant à son frère et ses sœurs de s’éloigner un peu de l’Olympe.
Hermès partageait la même idée. Zeus venait de vendre son fils, un dieu, pour assurer la protection d’Héra et d’Aphrodite. Leur parent n’aurait pas de honte à montrer du favoritisme mais maintenant il comprenait que leur vie pouvait devenir un tout moment une monnaie d’échange.
Il n’en voulait pas à Poséidon, même si une nouvelle fois ses enfants semé le trouble. Mais Zeus avait permit cela, il avait offert au Aloades Arès en échange de promettre de s’éloignée de sa femme et de sa fille. Et ceux pendant un an, sans en parler à quiconque les trois avaient gardé le silence sur l’échange qui avait privé l’Olympe d’un dieu et bouleversé l’ordre des choses. Et plus que tout cela avait été à Hermès d’aller sauver le dieu de la guerre et des larmes, qui portait maintenant son nouveau attribut avec une détresse frappante. Les deux géants s’étaient bien trop amusait avec le dieu de la guerre, savourant sa captivité comme un monstre savourait de voir sa victime prisonnière perdre peu à peu espoir.
Enfermé dans leur grotte, le dieu ne pouvait presque rien faire, sa combativité disparaissant au fil des mois. Les deux géants en avaient profité, loin de toute réprimande et avec l’accord du roi des dieux. Hermès et Artémis avaient enfin après un an de recherche trouver leur antre. La déesse avaient montré au deux géant comment elle pouvait égalé sans mal Athéna ou Arès, et le dieu messager avait trouvé le nouveau dieu des larmes et de l’injustice sur le sol, dans un état qui laissait claire se que les deux frère lui avait fait. Un maigre linge couvrait à peine l’homme, le blanc devenu sale par le sang et la terre après des luttes vaines.Même en temps que dieu guériseur Hermès n’avait pas vu des dégats aussi grave, du moins pas depuis que la paix avait été installer entre les différents dieux et entité primordiale.
Parfois les pires blessures ne venaient pas toujours de la guerre.
L’état de l’autre dieu était alarmant, et Hermès avait presque peur que cela puisse être fatal. C’était une pensée qu’il devait chasser son esprit, mais au chevet de l’autre l’homme l’idée ne semblait pas quitter un instant son esprit.
La fière dévorait le dieu, laissant le dieu médecin observait comment la sueur salissait les bandages qu’il venait de refaire. Ce n’était pas plaisant de voir un aspect chétif à un dieu guerrier. Les muscles avaient diminué avec le manque de nourriture et les abus. Et les plaies n'étaient pas encore cicatriser pour la plupart. Cela n’aidait pas la fièvre. Il n’y avait rien pour lutter contre l’infection qui le laissait si faible. Comme si la maladie pouvait sentir sa fragilité.
Le pire étant sans doute les cauchemars et les hallucinations que provoquait la fièvre. Le dieu s’agitait en vain, se réveillant seulement au son de ses propres cries. Ses baumes médicinaux et l’eau froide ne semblaient pas aider. Hermès savait qu’il devait juste attendre, l’infection qui avait provoqué cette folie était maintenant soignée. La fièvre n’allait pas tarder à se calmer. Elle devrait se calmer.
Mais les choses n’étaient pas si simples. N’importe qui aurait été troublait de trouver Arès ainsi, malmener durant plus d’une année. Treize mois d’abus que la plupart des dieux ne pouvaient imaginer. Mais cette fièvre semblait gâcher et ses derniers efforts de le faire aller mieux, de faire comme si cette année de recherche n'avait jamais existé. Peut-être qu’un siècle ne serait pas assez pour oublier se qui s'était passé.
Arès tremblait, cria à l’aide et implorant qu’on s’éloigne de lui. La fièvre était l’unique chose qui l'empêche de se replier le plus loin possible des autres, craignant quelque chose qui laisser les rares dieux soucieux de lui horrifié. Peut-être même aussi les autres. Aphrodite avait voulu le revoir, curieuse de son état et Hermès n'avait même pas pu être satisfait de voir la déesse marine comparée à l’un de ses géants. L’horreur se gravant sur son beau visage comme une punition presque juste. Arès avait simplement crié et s’était replié sur lui-même, suppliant Otos de ne pas le toucher de nouveau, peu importe si la personne en face de lui avait le courbe les plus élégante et féminine, la fièvre lui faisait voir seulement un gens aux longs cheveux blonds et à la force semblable à celle des océans.
Il avait l’impression à chaque réveille d’être de retour dans la grotte, enchaîné au mur comme un animal ou enfermé dans cette jarre immense qui le privé de ses dernières libertés.
Hermès souffla, prenant place à côté de la couche du dieu qui luttait dans un sommeil à peine reposant malgré les soins de Morphée. Soigneusement le dieu message épongait son front, attendant et espérant une amélioration de son état.
Les Aloades voulaient faire tremblaient l’Olympe ? Et bien pour Hermès ils avaient presque réussi. Non pas qu’Otos et Ephialtès soient particulièrement forts. Mais leurs actes avaient montré comment même les dieux les plus importants n’étaient pas l’abri, et que peut-être aucunes divinités ne pouvaient se fier au autre. La fièvre d’Arès n’était peut-être que le début d’un incendie qui pourrait être leur fin.
Hermès espérait qu’il était simplement défaitiste, nettoyant le front de l’autre homme avec douceur. Il ne pouvait pas être confiant en imaginant un instant ce qui aurait pu se passer en n'arrivant que quelque mois plus tard.